« L’avant-dernière version de la réalité »

Exposition monographique de Brognon Rollin
Du 7 mars 2020 au 31 janvier 2021

Le MAC VAL propose la première exposition monographique muséale du duo d’artistes formé de David Brognon et Stéphanie Rollin (né.e.s respectivement en 1978 et 1980, en Belgique et au Luxembourg), réunissant œuvres existantes et nouvelles productions.

Les projets de Brognon Rollin condensent des narrations enchevêtrées qui s’inscrivent dans l’histoire de l’art minimal et conceptuel. Combinant symboliques, faits, objets, anecdotes, a priori disjoints et parfois rocambolesques, les œuvres sont fortement polysémiques, supports à dérouler des lignes de fuite empreintes de mélancolie et de poésie. Ce que l’on voit n’est que la partie émergée de l’iceberg.

Entre Philip K. Dick, Stefan Zweig et Jorge Luis Borges, David Brognon et Stéphanie Rollin explorent les interstices du temps. Les œuvres de l’exposition se donnent à expérimenter comme autant de failles spatiotemporelles et au final engagent une méditation sur la disparition programmée de toute chose.

Exposition «  L’avant-dernière version de la réalité  »
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Invitation au vernissage
Vendredi 6 mars
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Présentation

Le MAC VAL propose la première exposition monographique muséale du duo d’artistes formé de David Brognon et Stéphanie Rollin (né.e.s respectivement en 1978 et 1980, en Belgique et au Luxembourg), réunissant œuvres existantes et nouvelles productions.

Derrière ce titre, emprunté à Borges, se développe une interrogation simple et néanmoins vertigineuse : le réel existe-t-il en dehors de ses représentations ? Qu’en est-il du temps et de sa perception ? De sa relativité ? De sa dimension spatiale ? Comment donner forme à l’expérience de la durée ? De l’attente ? Du suspendu ? De l’équilibre ?

Les projets de Brognon Rollin condensent des narrations enchevêtrées qui s’inscrivent dans l’histoire de l’art minimal et conceptuel. Combinant symboliques, faits, objets, anecdotes, a priori disjoints et parfois rocambolesques, les œuvres sont fortement polysémiques, supports à dérouler des lignes de fuite empreintes de mélancolie et de poésie. Ce que l’on voit n’est que la partie émergée de l’iceberg.

Entre Philip K. Dick, Stefan Zweig et Jorge Luis Borges, David Brognon et Stéphanie Rollin explorent les interstices du temps. Les œuvres de l’exposition se donnent à expérimenter comme autant de failles spatiotemporelles et au final engagent une méditation sur la disparition programmée de toute chose.

Commissariat : Julien Blanpied et Frank Lamy, assistés de Ninon Duhamel

Exposition en partenariat avec le BPS22 Musée d’art de la Province de Hainaut, Belgique, le Centre Wallonie-Bruxelles à Paris, Wallonie-Bruxelles International et la Mission culturelle du Luxembourg en France.
Avec le concours du Fonds Culturel national Luxembourg.
Avec le soutien de L’atelier de l’imaginaire.

Dossier de presse exposition de Brognon Rollin
Dossier de presse
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Petit journal
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«  L’avant-dernière version de la réalité  »
Par le duo d’artistes Brognon Rollin
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Le «  Bon plan  »
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Présentation de l’exposition par les artistes

Découvrez l’exposition avec TCQVAR

Vidéo réalisée par /Tout Ce Que Vous Avez Raté/

Pistes audioguides

A propos du titre de l’exposition
Présentation de l’exposition par Julien Blanpied co-commissaire de l’exposition
Une histoire de lignes par Frank Lamy et Ninon Duhamel
Brognon Rollin, à propos de leur pratique artistique

L’affiche

Œuvres

Ressources documentaires

Voir le dossier documentaire proposé par le centre de documentation du MAC VAL. Il présente une série de ressources sur l’artiste et sur les thématiques abordées dans l’exposition.

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