Autour de l’exposition « Faits Divers » du 15 novembre 2024 au 13 avril 2025
👉 La scène du crime
Partant de la dimension scénique du fait divers (décor, objets, personnages), cette visite permet de découvrir les différents mediums de l’art contemporain et d’aborder les thèmes de réalité, fiction, point de vue et narration.
👉 Média et Faits divers : Une petite histoire du traitement artistique
De la simple brève dans le journal aux grands titres, la définition du faits divers tient à sa médiatisation. Entre ces deux traitements, toute une graduation se développe : voyeurisme, exposition de l’intime, recherche du sensationnalisme, jusqu’à la manipulation de l’opinion. Comment les artistes s’emparent-ils des codes du fait-divers, qu’est-ce qui les attirent ? Quels regards critiques font-ils émerger ?
Cette visite permet d’aborder l’éducation aux médias à partir de différents médiums et pratiques contemporaines : installation, vidéo, photographie mais également texte et dessin.
Avec les œuvres de Pierre Huyghe, Agnès Geoffray, Christian Patterson, Nancy Spero, Bruno Serralongue, Didier Paquignon, Samuel Bollendorff.
Autour de l’exposition « Le genre idéal » à partir du 21 mars 2025
👉 Pas mon genre !
Ce parcours permet d’aborder les cinq genres dans une pluralité de médiums. Le visiteur est accompagné dans sa relation à l’œuvre (formation du goût) et son regard distancié (analyse critique). La visite permettra de questionner la fabrication de cette exposition issue d’ateliers collectifs réunissant tous les corps de métiers du musée.
👉 Les formes de l’Invisible
Cette visite s’attache à montrer des œuvres qui questionnent la frontière entre visible et invisible. La trace, l’empreinte, la silhouette sont souvent utilisées par les artistes pour représenter l’absence, l’oubli ou le hors-champ. Dans les installations ce sont les objets qui peuvent servir à matérialiser des choses qu’on ne voit pas, comme les pensées, l’attente ou l’introspection. Paradoxalement, les techniques photographiques peuvent, elles, par le geste artistique devenir créatrices d’images fantomatiques. Enfin en peinture, il y a souvent une dimension politique dans l’acte de donner une forme à ce qui veut être caché.