Belinda Cannone est romancière et essayiste. Elle a notamment travaillé sur l’émerveillement et la contemplation des choses ordinaires.
Elle a choisi de s’exprimer sur trois œuvres de « L’œil vérité » : 1992, #7 de Valdimir Velickovic ; Marée basse, courant I de Gilles Aillaud ; Derrière le ciel il n’y a rien de Michèle Katz.
Catherine Doyen est cheffe du service de psychopathologie de l’enfant et de l’adolescent au centre hospitalier Sainte-Anne à Paris. Elle travaille notamment sur les troubles de l’attention et la remédiation cognitive.
Elle a choisi de s’exprimer sur trois œuvres de « L’œil vérité » : Opéra intime de Jacques Monory ; Douze courbes allongées de Pol Bury et El cuadro escarlata de Jesus-Rafael Soto.
Justin smith-Ruiu est philosophe, professeur de philosophie à l’université Paris Cité. Avec des collaborateurs, il a créé des exercices attentionnels, protocoles en plusieurs étapes devant les œuvres d’art.
Il a choisi de s’exprimer sur trois œuvres de « L’œil vérité » : Businessman n°6 de Peter Saul ; Matière et poids de Jean Dubuffet et Paris, Paris... de Antonio Recalcati.
Marcus Weisen a réalisé une thèse emblématique sur le corps comme lieu de l’expérience et de l’attention des espaces muséaux et architecturaux.
Il a choisi d’introduire les récits sonores depuis la mezzanine, qui présente une vue générale de « L’œil vérité » et de s’exprimer ensuite sur deux œuvres : "La dispute" de Anne Brégeaut et "Brune longue de Loire" d’Oliver Debré.
Yves Citton est professeur de littérature et média à l’université Paris 8, auteur notamment de l’ouvrage Pour une écologie de l’attention.
Il a choisi de s’exprimer sur trois œuvres de « L’œil vérité » : Hors jaune de Camille Bryen ; Tres vibraciones de Jesus-Rafael Soto et Terre rouge de Jean Dubuffet.